[BAR] Le Bourrage de geule

Ce samedi là, Kichi, voulai se bourer la geule pour pur plaisir de voir ce que sa fait que d'être soule.

Il etait 18.37 et Kichi n'avait pas faim, car elle avait passé l'apres midi à bouffer du chocolat et des biscuits. C'etait l'heure de manger, mais pas pour elle. Du coup Kichi est allée s'habiller comme il le faut pour une soirée comme celle-ci, elle est allée fouiller dans son armoire pour voir si elle avait quelque chose d'acceptable. Quelques minutes plus tard elle a trouvé des pantalons cours violets avec des chaussettes longues jusqu'au cuisses qui etait noires, histoire de ne pas avoir trop froid. À l'etage du dessus un top tout simple, noir, qui avait ecrit dessus:St. Diego, une echarpe voilette et toute douce, avec par dessus une veste noire en cuire. Elle a pris son porte monnaie bien plein et s'est coiffé tout simplement d'une queue de cheval. De suite, Kichi est allée dans le couloir tout en bas et a crié de toutes ses foces: (en esperant une réponse)

Qui veut venir avec moi au bar??? By kichi

Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 31/10/2008

Si Karl avait une passion, c'était bien les énigmes...

Enfin... "Passion"... Ce mot est employé bien trop souvent à la légère... Pour Karl, c'était des passions qui pouvait durer une minute, comme un mois, tout dépendait de l'énigme à résoudre. Il n'aimait pas s'arrêter tant qu'il n'avait pas fini. Il s'approcha de son bureau, résolu à s'avancer dans la préparation de ses cours, mais le crayon se perdit sur sa feuille, réécrivant une nouvelle fois une suite de chiffres dont il n'avait toujours pas trouvé la logique. "1-11-21-1211". A force de chercher, il la connaissait par coeur. Cela faisait un jour qu'un de ses amis la lui avait envoyée avec deux autres énigmes dont il avait trouvé rapidement la réponse. Comprenant au bout d'une demi-heure qu'il ne réussirait pas à se concentrer sur son travail à cause de ça, il décida d'aller se chercher de quoi manger.

Il sortit du pensionnat et revint un quart d'heure plus tard environ. Mais il eut à peine franchi la porte, son sandwich déjà bien entamé à la main, qu'il entendit une voix qui criait "Qui veut venir avec moi au bar???". Soudain, les yeux du professeur s'illuminèrent. C'était ça qu'il trouvait de plus beau dans son métier: ennuyer les élèves. Il n'était pas méchant, mais il aimait bien... Toujours dans l'entrebaillement de la porte, il sortit une photocopie de son trombinoscope, qu'il gardait toujours sur lui, dans la même poche que le plan qu'il avait reçu à son arrivée, repéra le visage, puis le nom. Nagashiwa Kichi.

Un léger sourire en coin il referma la porte en entrant complètement et lança sur un ton jovial, mais avec une voix assez forte:

Moi j'veux bien!

Kichi, casi immédiatement après avoir entendus cette réponse s'est retournée toute contente, malheureusement pour découvrir que c'etait bel et bien son cher prof qui lui avait répondus. Je pourrai ajouter que un peu près une seconde plus tard sa tête se résumai à ça:-_-"
Vue que c'etait un professseur et qu'elle comptait se souler, Kichi devait conclure un marcher avec lui pour que les affaires marchent et que les autre enseignants ne viennent pas à savoir ce qui allait se passer... La suite etait a voir avec sa réponse. Kichi a gonflé ses pomons s'est levée sur la pointe des pieds et a pronocé ces paroles:

Je vous propose un marcher: voyez-vous, moi, ce soir je compte bel et bien aller au bar pour une raison très prècise, et je préfairerai que les enseignats ne sachent pas ce pourquoi. Donc, vous avez le choix:
1.Je vous dis ce que je compte faire au bar, on contrôle si quelqu'un d'autre veu venir et on y vas.
2.Je vous dis rien du tout et vous vous en allez continuer vos trucs, pendent que je par faire ce que je voudrai faire, avec quelqu'un d'autre.
C'est à vous de choisir. Je peu vous tutoyer? J'en ai marre de parler comme ça.

Sans attendre de réponse elle s'est retournée et a observé si quelqu'un, par hasard, etait entrain de décendre les escaliers.

Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 31/10/2008

Le sourire de la jeune fille qui s'était transformé en une expression on ne peut plus explicite de déception semblait enchanter Karl. Une pointe de sadisme dans ses actes... C'était une des raisons qui l'avaient poussé à être prof. Rien que voir cette expression sur le visage d'une élève valait bien toutes les études préalables. Professeur... La belle vie!

La jeune fille était bien courageuse de lui proposer ainsi un marché sans même le saluer, et surtout pour lui demander à la fin si elle pouvait le tutoyer. Cependant, Karl ne se fâcha pas, il ne parut même pas vexé et il l'écouta attentivement avant de sourire. La jeune fille s'était déjà retournée quand il commença à parler, il lui ébouriffa les cheveux quelques secondes, histoire de capter son attention et lui dit:

Ma p'tite Kichi, tout d'abord, on dit bonjour. Puis, tu as oublié une troisième solution à ton marché: je t'empêche purement et simplement d'aller au bar, tu oublies que je suis professeur et que de simples paroles louches peuvent me donner ce droit. Cependant, j'vais t'accompagner et, à part si tu tues une personne, je ne vois pas vraiment pourquoi j'irais raconter ta vie à mes chers collègues.

Il disait chers collègues mais n'avait fait qu'en croiser certains dans les couloirs, il faut dire qu'il n'était pas là depuis très longtemps non plus... Sans se détacher de son sourire, il lança:

Ca te va?

Il se tut quelques secondes car il lui semblait qu'il avait un autre truc à dire. Il trouva rapidement quoi et lança:

Ah au fait, oui, tu peux me tutoyer, et je m'appelle Karl Wolf.

J'avoue que Kichi etait un petit peu surprise de recevoir une réponse aussi directe de la part d'un professeur; il faut dire que elle non plus n'a pas été d'un tacte incroyable, c'est d'ailleur pour ça qu'elle a voulue s'améliorer pendant la "deuxième manche" en répondant:

Euuh... Bonjour Karl! Laughing

(je savais déja qui tu etait...) C'est gentil de me laisser te tutoyer. Mais je suis pas aussi petite que ça, je suis presque aussi haute que Toi!ò_ó Bon, pas en age, même se j'aimerai bien, même seulement pour essayer une fois. C'est super que tu ne m'empêche pas d'aller au bar grace à de simples paroles louches, et que vous ne disiez pas ce que je compte faire à vos "chers" collègues. Que ça soit clair, je n'ai jamais tué personne et je n'ai pas cette intension, je ne suis pas un être capable d'accomplir cet acte. Physiquement oui avec une arme ou un couteau, mais pas mentalement.(Mais quesque je raconte?) En fait mon intension etait d'aller au bar pour passer une soirée a me souler avec de l'alcooOOoOl. J'espère que cela ne te dérange pas. Very Happy

Tu croi qu'ils vont me donner de l'acool ou il vont ve dire que je suis bien trop petite, même si j'ai fait de mon mieux pour ressembler le plus grande possible en age?Bon, on y...

(Petit bruit venu de l'étage du dessus)Kichi s'est retournée vers les escaliers pour voir ce qui etait la source de ce bruit pour apercevoir quelque chose, ou plutot quelqu'un qui bougeait et se torillai le long des marches du pensionnat:

Il y a quelqu'un??

Domeki revenait d’un cours de magie, comme à son habitude, il s’était à moitié endormi. Il somnola encore, se dirigeant vers les dortoirs. Il faisait froid, terriblement froid, cela plaisait lui énormément. Il décida donc de rester un peu dehors, assis sur un banc. Il failli oublier de retirer ses oreilles et sa queue de renard. Il y avait des magiciens certes, mais des humains aussi qui auraient été très surpris.

Il rentra donc dans le bâtiment, la première personne qu’il vu était son professeur de Maths, aimant et attentionné. Il ne fut pas très ravi de le voir et fit une grimace. En effet, Domeki n’aime pas les cours, et qui fait les cours ? Les profs, donc par logique, il ne les aime pas non plus. Mais bon il fallait bien le saluer, ca pourrait être malpoli de ne pas le faire. Il hésita un peu et dit tout bas :

-Bonjour, sensei.

Il dit cela d’une voix à peine audible. *S’il m’as pas entendu c’est pas grave* Quelle excuse allait il bien trouver pour expliquer le fait qu’il était dehors à une heure pareille. Il ne pouvait pas lui dire « J’étais en cours ». Ca paraîtra louche, surtout à cette heure là. Et puis son uniforme rouge montrait qu’il est de la classe D, une des classes au meilleur emploi du temps de l’institut Akamo. Et surtout ce qu’il l’ennuyait le plus, c’est le fait que se soit un humain. *Misère, je suis maudit*. Il respira un bon coup, il n’avait pas encore remarqué qu’il y avait quelqu’un à l’étage. *Je fais quoi ? Je monte du genre «j’ai rien fait » ou sinon*. Il n’eu pas le temps de penser à une autre hypothèse qu’il entendait déjà la voix de quelqu’un. Il fut immédiatement rassuré *Je vais pouvoir m’échapper* .Enfin pas pour longtemps. Quand il entendit cette phrase venant de la jeune fille se trouvant en haut des escaliers:

-En fait mon intension était d'aller au bar pour passer une soirée a me souler avec de l'alcooOOoOl

Il ne était plus du tout rassuré. Il était encore jeune et n’avais jamais bu. Enfin, c’est ce qu’il croyait. Un jour, pour le nouvel an, ces parents lui avait fais boire un verre de saké, mais Domeki, qui commençait à être saoul prit toute la bouteille et c’était écroulé devant tout le monde. Il ne tenait pas bien l’alcool, en même temps, il n’avait que 10ans. Le lendemain, pendant toute la journée il eut des maux de tête affreux. Son oncle qui a le don de faire perdre la mémoire de toute personne, réussi aisément à lui faire oublier ce petit passage de sa vie. Depuis, personne n’ose lui donné à boire et lui, ne comprend pas pourquoi il n’a pas le droit à un misérable verre de saké comme son frère.
Il dit assez fort pour que sa jeune interlocutrice en haut de l’escalier l’entende aussi :

-Que ce qui se passe ici ??

Probablement comme nous pouvons le déduire, ni Kichi ni Karl avaient entendu ces petits murmurments venus de l'étage au dessus de leur petites têtes en forme d'oeufs, ils etaient "trop" occupés à "discuter" de ce qu'il allait ce passer plus tard. Un peu méfiant l'ado montait les escaliers peu à peu, et une foi en haut il découvra la fille et le prof. Une fois au sommet, Kichi resta surprise, elle s'attendait a voir un ou une SAUVEUSE, en fait la personne qui montait les escaliers etait tout simplement le camarade de classe de Kichi, elle ne le connessai pas très bien, mais il avait l'air sympa ce Domeki. Tout en ouvrant très grand ses yeux Shocked

Kiki* attaqua ou plutôt se jeta sur son camarade en lui demandant:

-Tu fais quoi ici à cette heure ci? Sourtout que le cours est fini il y a presque un demi heure! À moins que tu veuille venir au bar avec moi et le prof derrière moi, sauve moi, je t'en suppli! Ah! Biensur, je ne me suis pas présenté, je suis Kichi Nagashiwa je suis dans ta classe si tu m'a déja vu une fois dans le même cours que toi.

[center]Kichi le pris par le bras et se retourna pour le présenter à Karl, quand du haut de ses ALL STARS volantes à semelles plates elle fit un petit fau pas et s'etala par terre comme une grosse me***... Pas de bol. Evidamment cela provoqua de suite un rire de la part des deux personne de sexe opposé, d'ailleur les deux seules personnes présentes en ce moment. En se relevant la jeune fille affirmais:

-Tout va bien, tout va bien... Vous arretez de rire?!

La réaction fut immédiate et Kichi, une fois debout, repris Domeki par le bras et dit:

-Chèr Karl, voici un de mes camarades de classe: Asano Domeki, est-qu'il peu te tutoyer? Pour pas se casser le "boules" que je n'ai pas à te vouvoyer.

La jeune fille lâcha le jeune garçon et commeçai à avancer vers la porte pour se diriger au bar et passer une drôle de soirée avec deux "hommes".

La suite au prochain épisode! XD

*Petit surnom, à pas confondre avec quelque chose d'autre...(hein Kyung?)

Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 31/10/2008

Karl était en train d’écouter attentivement son élève parler de meurtre et définissait ses limites de ce point de vue là. Détails intéressants et qui mériteraient sûrement d’être approfondis, mais Karl ne fut cependant pas mécontent quand elle changea de sujet pour parler de l’alcool. Le professeur esquissa un léger sourire. Il se doutait bien qu’elle voulait aller boire de l’alcool et pas un lait-fraise. Quoique… il avait déjà fait ça étant plus jeune. Les paris nous poussent à faire des trucs bizarres parfois, comme prendre un lait-fraise entouré de cinq personnes buvant des bières. Enfin… C’était le bon temps, et Karl ne comptait pas qu’il se finisse sous prétexte qu’il avait des responsabilités. Si la ptite Kichi se voyait refuser de l’alcool, il pourrait toujours commander pour elle… Quoique… ça pourrait être amusant de la voir boire un coca, elle qui comptait se bourrer la gueule. L’homme n’eut pas le temps d’approfondir cette idée, la tirade de la jeune fille avait été interrompue par un adolescent qui venait de rentrer.

Rentrer à cette heure ? Ce n’était pas vraiment sérieux. Il n’eut pas le temps de lui expliquer que ce n’était pas bien de traîner comme ça tout seul le soir pour rentrer en douce et ainsi de l’ « acheter » pour qu’ils les rejoignent au bar car la jeune fille était déjà en train de lui parler. Elle avait commencer par lui demander ce qu’il faisait ici à cette heure. Karl était heureux de ne pas être le seul à se poser la question. Kichi se présenta à nouveau. Elle semblait enthousiaste de le voir, si elle ne s’était pas présentée avant, le professeur aurait cru qu’ils étaient bons amis, d’autant plus qu’elle venait de le prendre par le bras. Elle allait se retourner pour le lui présenter, ce qui l’enchanta : il saurait enfin de qui il s’agit, mais le spectacle qu’il vit l’enchanta encore plus : la jeune fille venait de s’étaler de tout son long au sol, donnant l’occasion à Karl de prouver à nouveau qu’il n’avait rien de sérieux puisque, au lieu de se précipiter pour l’aider à se relever en bon gentleman, il éclata de rire.

La jeune fille se releva donc seule et repris le garçon dont Karl ne connaissait toujours pas le nom par le bras et dit :

« Cher Karl, voici un de mes camarades de classe: Asano Domeki, est-ce qu'il peut te tutoyer? Pour pas se casser les "boules", que je n'ai pas à te vouvoyer. »

Question à laquelle il ne s’attendait pas, il était pour lui logique qu’on le tutoie, en dehors des cours évidemment. Il eut un instant de nostalgie, repensant à son ancienne classe. Des élèves bien sympathiques, mais il n’était jamais allé avec l’un d’eux au bar. C’était une nouvelle expérience, et il ne s’en plaignait pas. L’internat, ça le changeait. Enfin… lui ne vivait pas à l’internat, mais il aimait beaucoup l’ambiance du au fait que les élèves vivent tous ensemble dans l’école. Après quelques secondes de comparaison du passé et du présent, il revint à la discussion et adressa un sourire qui se voulait être adressé à Kichi mais qui au final se perdit dans le vide car elle se dirigeait déjà vers les portes. Impatiente d’être bourrée et de ne plus se souvenir de sa soirée on dirait… Il répondit quand même :

« Bien sûr qu’il peut me tutoyer, sinon il serait jaloux de toi et je m’en voudrais… »

Après qu’il eut dit cette phrase courte mais qui mettait les choses au clair pour Asano qui venait juste d’arriver dans la discussion, il suivit ensuite les deux élèves hors du pensionnat et lança :

« Au fait, c’est loin le bar ? »

Ce n’est pas qu’il n’aimait pas marcher, mais il s’imaginait déjà soutenant les deux élèves et les forçant à marcher à peu près droit à deux heures du matin, voire plus tard, et ça ne l’idée que le chemin soit long ne l’enchantait pas vraiment dans cette optique. Il pouvait bien passer pour un enfant gâté qui en avait déjà marre de marcher et qui voulait que ses parents le porte, mais si c’était trop loin, sa voiture était toujours garée pas loin. Enfin… Il attendit la réponse d’un des deux élèves pour se faire son idée en savourant la légère brise qui soufflait dans l’air de la nuit.

Ces deux interlocuteurs semblaient tout les deux s’étonnait de son arrivé tardive au dortoir. Il reconnu tout de même son professeur de mathématiques et une camarade de classe. Il l’avait vu en cour et semblait souvent agitée, pas du tout comme lui. Quand la jeune femme le vu arriva, elle semblait heureuse comme si il était le messie. Il comprit bien vite pourquoi. En effet, il semblerait que la jeune fille voulait allait au bar et que, manque de chance, le seul volontaire était un enseignant.

Elle tomba à terre ce qui le fit bien rire ainsi qu’a son sensei. Apparemment il n’était pas très galant, enfin comment pouvait il le critiquer, lui non plus ne faisait rien pour l’aider.

Le regard suppliant de Kichi, lui fit un peu pitié. Il hésita vraiment à aller au bar mais elle prit sa décision a sa place, le prit par le bras et commença déjà à partir. Elle commença à se diriger vers la sortie, suivie de Karl. Ce qui l’inquiétait le plus c’était qu’il avait peur d’aller avec un humain qui n’hésitera pas à l’esclavagiser sans scrupule si l’effet de l’alcool lui faisait se transformer partiellement en renard. Il décida donc de boire le moins possible et de bien surveiller Kichi pour pas qu’elle n’en dise trop.

« Bien sûr qu’il peut me tutoyer, sinon il serait jaloux de toi et je m’en voudrais… »

Cette phrase le surprit vraiment, normalement un enseignant ne dirai jamais ca. Et puis, ca lui ferai bizarre de tutoyer son professeur alors que la plupart du temps il vouvoyer les personnes ayant plus de 5 que lui, même ses parents. Il avait été éduqué comme cela, de façon très stricte. Il fera une exception pour une fois. Il était ravi de constater que Karl n’était pas trop vieux jeux.

Dehors, il faisait vraiment froid comme deux minutes avant qu’il ne sorte du bâtiment. Personne à l’horizon. Il était content de marcher cela lui plaisait bien, mais il se demander bien où se trouver le bar, ce n’est pas le genre de lieu qu’il avait l’habitude de fréquenter.

« Au fait, c’est loin le bar ? »

Probablement que le sensei ne savait pas non plus où il y avait de bar. La seule qui semblait le savoir était Kichi. Il voulait comme même la mettre en garde avant d’arriver au bar. Il dit donc :

-Je ne sais pas, faut demandai a Kichi.

Il pressa le pas, la rattrapa, et lui dit tout bas pour que Karl n’entendent pas :

-Fais attention, c’est un humain, enfin c’est juste un avertissement, sa serait dommage qu’à cause d’une malheureuse sortie tu sois découvert.

Il lui relâcha le bras, et attendait de savoir ce qu’ils allaient faire maintenant. *J’espère qu’elle m’ecoutera*

Kichi fut plutôt surprise de la façon d'agir d'Asano, comme si elle ne le savait pas qu'il ne fallait pas le dire. Mais un rappel ça ne fait jamais du mal, à ce moment là elle eut une idée vraiment pas mal, mais pour ça il ne fallait pas que Karlounet les entende. Solution: reprendre Asano par le bras et courrir comme si elle etati préssée à aller au bar. Une fois un mètre plus loin elle lui dit très discretement dans le plus profond de l'oreille gauche du jeune garçon:

-Dans ce cas tir moi un coup de pieds sous la table si je m'entraine trop dans mon discour et je risque d'arriver au point cririque, celui ou le prof découvre tout (le point de mort). Comme ça je me la boucle. silent

Il faut dire que la jeune fille savai plus ou moins où se trouve le bar mais elle n'en avait pas encore une idée précise. Heureusement elle avait avec elle son téléphone qui fait de navigateur pour piétons. Après l'avoir regardé attentivement pendant plus ou moins 30 secondes elle se rendit compte d'une chose, une chose qui se trouve être assez, même beacoup embétante:

-Super! J'ai mon téléphone qui fait de navigateur aussi! Mais.... il n'a plus de batterie cet idiot...cazzo quanto lo odio quando fa cosí sta testa di cazzo... [BAR] Le Bourrage de geule 51263

Entre temps Karl les avai déja rejoints et semblai ne pas apprécier ce fait (on se demande pourquoi). Kichi entre temps essayai de se faire pousser une empoule sur la tête (une idée) mais elle n'y est pas arrivée. Donc il leur restai une seule solution:

-On va prendre un taxi si c'est comme ça! Ça vous dérange de prendre un taxi c'est vrai heiiin?

Elle courai vers la route en pensant que les deux hommes etaient daccord et une fois arrivée au bout elle réussisait à voir un taxi qui pointait son nez ver leur diréction, alor elle crai:

-Taaaaaxiii??!!

Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 31/10/2008

Les deux adolescents que Karl accompagnait était en train de se faire des messes basses. S’il ne les avait pas vu se présenter, il aurait supposé qu’ils étaient plus qu’amis, mais bon… Qui sait, peut-être que Kichi faisait des avances à Asano. Ce dernier semblait plutôt timide, et se complétait parfaitement avec Kichi qui était plutôt extravertie, sans être cependant déplaisante. Il était en train de s’imaginer tout un petit spitch avec eux comme personnages principaux, quand la cadence de leurs pas changea, ce qui le fit sortir de ses pensées. L’espace d’un instant, il songea qu’ils voulaient lui fausser compagnie, mais ils s’arrêtèrent quelques mètres plus loin. En fait il ne voulait juste pas qu’il entende ce qu’il se disait. D’un côté, le professeur fut assez déçu, sa curiosité s’était remise à le frapper de toute sa force, et elle en avait cette bougresse ! Cependant, elle cessa bien vite de le torturer, battue par la petite histoire qu’il s’était imaginé quelques minutes avant concernant Kichi et Asano qui lui redonna le sourire. Un sourire moqueur, mais pas méchant. Cependant, il était tout de même décidé à aller au bar avec eux. Ses deux compagnons s’étaient remis à marcher normalement, ce qui fait qu’il les rattrapa sans avoir besoin de courir.

Quand il les rejoignit, Kichi leur proposa d’aller chercher un taxi. L’instinct aurait pu être amusant à utiliser également, se promener au hasard dans la ville, attentif au moindre indice susceptible de trahir la proximité du bar. Cependant, le souvenir de lui marchant une demi-heure en territoire inconnu pour se retrouver sans s’en rendre compte derrière le lycée où il enseignait le fit revenir à la réalité : il n’avait aucun sens de l’orientation. Cependant, soit par un réflexe virant vers le sadisme de vouloir contredire la jeune fille, soit par un acte de fierté désespéré, il répliqua :

« Mais je sais conduire… »

Son dernier mot se perdit presque dans le faible vent qui continuait de souffler inlassablement. Le taxi était arrivé, s’était arrêté, c’était trop tard. Enfin… Ils allaient toujours pouvoir revenir à pied… Après que ses deux élèves se soient installés à l’arrière de sa voiture, il repensa un instant à sa voiture. A tous les coups elle serait jalouse si elle l’apprenait. Eh oui ! Karl était un grand sentimentaliste, même envers les objets. Il ne s’était jamais vraiment questionné sur le sujet, mais quand il était enfant, il réagissait instinctivement envers les objets comme envers les personnes. Une attitude bizarre, certes, mais qui était devenue une habitude. Il s’installa ensuite à l’avant du taxi et s’adressa au chauffeur :

« Au bar le plus proche s’il vous plaît. »

Quand la voiture eut démarré, il se retourna vers ses deux élèves et leur demanda :

« Au fait, j’ai le droit de savoir ce que vous vous disiez tout à l’heure ? J’me suis senti seul d’un coup… »

Il avait un léger sourire en disant cela, s’attendant cependant à une réponse négative, surtout avec Kichi. Il se rassit ensuite plus conventionnellement et regarda par la vitre le chemin emprunté. Il avait un mauvais sens de l’orientation mais une bonne mémoire… à peu près.

Lorsque Kichi elle le prit par le bras de et l’emmena assez loin pour que Karl n’entendent pas, Domeki se rendit compte qu’elle n’était peut être pas aussi inconsciente que ca. Ce qui le rassura aussi fut sa réponse. *Toute façon si tu parle trop je me serai pas gêner pour te faire taire*.

Il fut extrêmement surpris de savoir que Kichi ne connaissait pas le chemin pour aller au bar. Mais le pire allait arriver. Son téléphone était déchargé et ils avaient besoin d’un taxi maintenant. Il allait en appeler un, quand son interlocutrice agit beaucoup plus rapidement. En même temps il n’est pas dur d’aller plus vite que Domeki, qui est d’une nature très lente, voir trop lente.

Karl ne mit pas trop longtemps à les rattraper, il semblait curieux de savoir ce qu’ils avaient dit. Mais pourquoi parler si bas et si loin de lui pour finalement lui dire la vérité. *Comme si on allait lui dire ça* Il proposa de les accompagner avec sa voiture mais trop tard, le taxi était déjà arrivé. Domeki et Kichi montèrent à l’arrière et Karl a coté du chauffeur.

C’est à ce moment qu’il tilta, ils étaient trop jeune, ils n’auront jamais d’alcool. Il faudra forcement demandé à leur professeur, ce qui veut dire qu’ils seraient contrôlés. *Comme sa on boira pas trop, finalement il y a des avantages a ce qu’ils viennent*. Il sortit son porte monnaie pour voir si il avait assez d’argent. Apparemment oui.

« Au fait, j’ai le droit de savoir ce que vous vous disiez tout à l’heure ? J’me suis senti seul d’un coup… »

Domeki posa les yeux sur Karl qui souriait. Le fait qu’il se soit retrouvé seul n’était pas volontaire mais pour le reste oui. Il lui répondit franchement :

-Non. Sinon on ne serait jamais partir aussi loin. Vous êtes bien curieux sensei !

Il continua a fixer le professeur, même de force il ne lui dira jamais rien.

Elle fut assez surprise que le taxi l'ait entendue et soit arrivé ainsi de suite, et presque immédiatement, bon, c'etait tant mieux pour elle parceque une envie pas possible de rire en compagnie de ses deux "fous" l'avait déjà envahi depuis un petit bou de temps. Les trois dans le taxi Karl fit une drôle de tête et demanda aux jeunes présents:

-Au fait, j’ai le droit de savoir ce que vous vous disiez tout à l’heure ? J’me suis senti seul d’un coup…

Et heureusement que Asano etait là, parceque Kichi, elle, ne savait pas quoi répondre, et cela l'embétait pronfondémment, elle n'aime pas ne pas savoir quoi dire, retournon à la réponse de Domeki:

-Non. Sinon on ne serait jamais partir aussi loin. Vous êtes bien curieux sensei!

De suite les deux continuairent à se regarder, mais avec toute cette histoire le chauffeur ne savait de toute façon où il devait aller, et la jeune fille crut le voir au commencement d'une coloration rouge pétante, bizarre... Du coup elle décida de lui dire vite fait bien fait la déstination de tous ces braves gens dont elle fesait partie, le tout en intérrompant les regards lancés par les garçons:

-Et si on arretait de nous arrétions de nous, enfin vous regarder sans cesse et disions à ce gentil chauffeur où nous voudrions être conduit? Attendez une seconde que je dois me rappeler comment s'appelle le bar où nous désirons aller...

-Laissez-moi deviner votre diréction jeune fille...Je suis sûr que vous allez au... à ce bar au coin de la rue, comment il s'appelle, si je ne me trompe pas il s'appelle le White! C'est ça?

Les passagers etaient les trois restés la bouche grande ouverte et très surpris qu'il le savais, mais si ça se trouve c'est un super secret réservé que au meilleures du métier. Kichi lui répondit toujour la bouche ouverte:

-Euuuh, oui. Mais comment vous avez fait à deviner una truc pareil?

Le chauffeur se tourne rapidement et répond à la jeune fille:

-C'est un secret du métier... Smile

Plutôt surprise, la jeune fille décida de lui lire dans les pensées pour savoir comment il aurai bien pus faire ça, et après 20 secondes elle arreta et vit que en fait le conducteur aussi etait comme elle: un thelépathe...

Une fois arrivés, Karl qui etait aussi gentil que ça, paya le chauffeur, et c'est comme ça que la soiréetant attendue commença, la jeune fille etait toute sautillante de joie pour ce qu'il allait se passer.

Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 31/10/2008

Karl s'attendait à la réponse de Domeki, mais cela ne l'empêcha pas d'esquisser une petite moue en l'entendant. Après tout, il avait le droit de garder un brin d'espoir, si petit soit-il, non? Il avait déjà commencé à regarder par la fenêtre, l'air à moitié rêveur quand la discussion entre Kichi et le chauffeur débuta.

-C'est un secret du métier... Smile

C'est comme ça que finit la conversation. En entendant cela, le professeur réfléchit un peu sur sa vie. Connaissait-il vraiment les secrets du métier de professeur? Etait-il assez sévère? A bien y réfléchir, il n'avait jamais collé personne, ou presque, jusque là et voilà qu'il commençait à fréquenter les bars avec ses élèves.

Soudain, le paysage se figea: la voiture s'était arrêtée. Longtemps qu'il n'avait pas été conduit, ça faisait bizarre, comme s'il était l'espace d'un instant retourné en enfance. Il paya puis salua le chauffeur qui avait admirablement bien deviné leur destination, puis ouvrit la porte arrière aux deux adolescents, et ajouta avec un sourire:

"Tu connais les lieux, Kichi, non? On va te suivre..."

Déjà, il avait oublié les doutes qu'il avait eu sur ses compétences de professeur, après tout, on n'était pas en cours là, on réfléchirait à ça plus tard. Il jeta un oeil à l'entrée du bar puis suivit Kichi et Domeki qui avait commencé à s'y diriger. Il n'y était pas encore allé, ici, et se demandait comment était l'intérieur. Bar convivial? Familial? Dévergondé? Ou encore bar de drogués? Il verrait bien à l'intérieur.

Les videurs les laissèrent passer sans trop de problèmes. Au moment où ils franchirent les portes de la salle, Karl lança simplement:

"Pas mal!"

En effet, la pièce lui semblait assez sympathique, il ne restait plus qu'à voir l'ambiance.

[Désolé du retard et de la qualité du texte (une soeur qui parle TOUT le temps à côté -_-)]

[HRP: Désolé du retard]

Le fait que le chauffeur connaissait la destination de ce groupe intrigua Domeki, serait-il télépathe comme son frère ? Apparemment oui. Il lâcha du regard son sensei et regarda par la fenêtre, pensant à sa famille. Son anniversaire arriva à grand pas et ses parents n’avaient pas donné signe de vie.

Il avait rarement fêté son anniversaire, parlant peu, il ne se faisait pas d’ami. De plus, il n’aimait pas du tout le bruit. Ce serai pour lui un véritable supplice de fêté son anniversaire avec des amis, de la musique et tout le tralala.
Une fois arrivé, c’est avec grande gentillesse que Karl paya le chauffeur. Ils se dirigèrent tout les trois vers le bar. Kichi semblait empressés d’arriver.*Si ça se trouve, il nous laissera même pas passer, quoique nous avons Karl avec nous*. Le bar semblait bien animé et l’ambiance était à la fête. Un peu trop bruyant au gout de Domeki. Il choisit d’aller dans un coin près de la fenêtre. *On sera bien là, enfin j’espère*

Il s’assit, attendit quelques minutes, il repéra un panneau où il y avait écrit en gros « Ce soir, concours de karaoké ». Il écarquilla les yeux. *Je rêve, ce n’est pas possible, en même temps ce serai marrant de les voir chanter*. Il n’espéra qu’une chose, que personne ne remarque le fameux panneau avant que les inscriptions soient finies. La soirée allait être animé et surtout bruyante. Il soupirait. Pourquoi il était venu, il se posa cette question des millions de fois sans trouver de réponse qui lui convenait. *Tant pis maintenant c’est trop tard, je ne peu plus faire marche arrière* Il n’avait plus qu’à prier, mais ce soir la malchance semblait le poursuivre.

Une servante arriva, demandant ce qu’il voulait et les inspectant pour voir à peu près leur âge. Domeki leva son regard vers elle et lui dit :

-Pour moi ce sera une limonade, c’est tout

Elle le regarda avec un regard surpris, apparemment ce n’était pas la spécialité de ce bar, loin de là. Il décida donc de changer sa commande :

-Ou une spécialité d’ici, comme vous voulez.

Il disait ça d’une voix très lente comme à son habitude, à ce moment, pour son plus grand malheur elle leur dit d’un ton joyeux :

-Vous n’allez pas boire de la limonade comme même, ce soir c’est le concours de Karaoké, il vous faut un autre truc, je choisirai pour toi tu m’en diras des nouvelles et vous ?

Elle dit ça en regardant Kichi et Karl.

Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 31/10/2008

Karl n'avait pas remarqué le panneau annonçant le concours de karaoké avant que la serveuse n'arrive. Il écouta d'une oreille distraite l'échange entre la femme et l'élève, mais lorsqu'il entendit le mot "concours", ses yeux quittèrent le vide dans lequel ils étaient plongés pour se reposer sur les deux personnes, quand il entendit "karaoké", un large sourire éclaira son visage, un sourire plein de joie mais qui laissait deviner qu'il avait une idée derrière la tête. D'ailleurs, dès que la femme eut fini sa phrase, il lança:

"Une limonade pour moi s'il vous plaît!"

Désir de contredire, véritable envie de limonade, ou encore et tout simplement afin de savoir ce qu'il boit et de ne pas être bourré s'il fallait ramener les deux adolescents? Il ne savait pas vraiment pourquoi il avait commandé ça, mais ce qui était fait était fait de toutes manières, et puis, il n'avait pas le temps de réfléchir: il avait quelque chose d'important à faire...

Lorsqu'il eut fini de commander, on aurait dit une fusée. En un instant, il était accoudé au comptoir, on aurait d'ailleurs presque pu le confondre avec un des nombreux piliers de bar présents, et on pouvait entendre:

"Il reste encore de la place pour le concours de karaoké? Parfait! On a deux jeunes participants: ils se nomment Kichi Nagashiwa et Asano Domeki."

Au moment de dire les noms, il sortit de sa poche son trombinoscope en noir et blanc qu'il ne quittait presque plus, ça pouvait toujours être utile, la preuve! Il se souvenait de leurs prénoms, mais pas de leurs noms, vieille habitude qu'il avait prise en Europe.

Quand tout ceci fut fait, il revint à leur table, son sourire n'avait pas disparu, il avait même l'air content de lui et s'installa. Il s'attendait à des reproches, et c'était d'ailleurs pourquoi il était parti si vite sans demander leur avis. Ca y est, il avait baissé dans leur estime, mais bon. Quitte à être ici, autant s'amuser un peu, et il pourrait les charier plus tard. Il avait rarement fait des coups si bas, il en était conscient, mais ça ne perturbait aucunement son contentement, qu'il ne tentait pas le moins du monde de cacher. Ce n'était pas tous les profs qui pouvaient voir leurs élèves chanter.

En voyant son prof de mathématiques s'en aller vers le comptoir juste après avoir commandé sa "limonade" elle pense *une limonade?! On est venu ici pour s' amuser, du moins je crois… * du coup elle se retourne vers la serveuse et dit d'une voie décidée:
-C'est pas vrai...amenez-lui une Smirnoff ICE, pas de limonade. Ça a le même goût que sa limonade de toute façon... Pour moi aussi une Smirnoff! Et aussi pour ce cher Domeki à côté de moi s'il vous plait.
Elle se retourne vers Asano pendant que la barmed s'en vas avec les commandes. Kichi fait un clin d'œildiscret à son ami tout en lui disant d'une air sympathique et joyeusement sadique:
-J'espère que ça ne te dérange pas que j'ai commandé pour toi, mais quand j'ai vus cette boisson sur internet je n'ai pas pus m'empêcher de vouloir la goûter avec d'autres personnes, et j'ai pensé à vous pour cette occasion car on est ici ensemble. Razz

Juste quand sa phrase finit d'être prononcée les deux jeunes entendent leurs noms sortir de la bouche de leur professeur "adoré", Kichi se retourne avec un regard suspect vers Karl, qui est déjà entrain de revenir les voir. Il s'assied et attend patiemment sa commande, qui était devenue quelque chose d'autre que ce qu'il s'attendait à recevoir. Kichi le regarde et lui dit:
-A: Tu vas avoir une surprise que j'ai réservée explicitement pour toi, elle vas avoir lieu quand la barmed reviendra, tu vas voir.
B: Dis-le-moi au cas ou je me trompe, mais c'est ça ou tu nous à inscrit au karaoké de ce soir? Puis c'est quand qu'il commence?
Le regard de Karl semble intrigué tout à coup, mais il ne perd pas son sourire satisfiat. Il soupire et dit à la fille en face de lui:
-Le karaoké commence dans un quart d'heure, et oui je vous ai inscrits, pour voir les casserolles d'élèves que j'ai.
Une illumination surgit tout à coup de la chaise de Kichi, un sourire l'accompagne, una phrase se pronoce a voie basse entr'elle et elle:
-Je pourrai chanter devant eux, c'est ça? Je crois que je vais chanter ma chanson adorée que j'aime beacoup et que je vénaire (si on peu choisir): Rednex - Cotton eyed jo ou Toy-box _ Best friend ou encore Aqua - Barbie girl <-- cliquer ici pour entendre les chansons
La barmed revien vers la compagnie avec les Smirnoff et trois vers vides pret à être remplis et ensuite vidés *Que la soirée commence!*

Il était surpris en entendant son professeur dire qu’il voulait une limonade. Domeki l’imaginait plutôt une bière à la main. Mais bon, après tout chacun fait comme il veut. *C’est louche, faut se méfier*. Domeki, avait cette sale manie de n’avoir confiance en personne surtout au humain. Pourtant, il n’avait jamais été vu en transformation partielle. Le seul qui l’avait trahi été son frère et lui aussi est magicien. Alors pourquoi si peu de confiance envers les humains ? C’est un grand mystère.

Lorsque Karl finit sa commande, il se leva et alla sur le comptoir en face, mais avec tout le bruit qu’il y avait, de là où ils étaient, Kichi et Domeki n’entendaient rien. Mais toujours aussi méfiant, il était persuadé qu’il parlait du karaoké. Il s’enfouit à moitié dans son manteau et metta son écharpe sur ses cheveux. Il mit ses oreilles de renard. Il entendait tout beaucoup plus fort, il se concentra sur Karl et la personne avec laquelle il parlait, il entendit parfaitement ce qu’ils disaient. Ses oreilles étaient parfaites pour espionner à un détail près, après il avait un peu la migraine. Il enleva donc ses oreilles de renard et se replaça comme avant.

*Il nous a bien eu, mais il s’en tirera pas comme ça*Sa voisine avait déjà choisit pour les trois une Smirnoff ICE chacun. Le mot ICE lui plaisait bien, cela voulait dire que c’était froid donc pour Domeki c’était forcement bon. Cela le réjouit, mais ca ne s’arrêtera pas là. Il comptait bien passer une bonne soirée.et ce n’était un Karaoké qui allait la gâcher. Il hésitait à inscrire aussi Karl, mais lorsque celui-ci dit

–Le karaoké commence dans un quart d'heure, et oui je vous ai inscrits, pour voir les casserolles d'élèves que j'ai.

Domeki fit un petit sourire. *Tu vas voir, toi aussi tu vas nous montrer comment tu chantes*.Si Domeki semblait ne semblait pas très réjouie, Kichi, elle l’était. La barmed arriva est servi les boissons. A peine avait elle achevé que Domeki était debout, an train de se diriger vers le comptoir des inscriptions un grand sourire au lèvre.
-S’il vous plait, nous avons un autre participant, il s’appelle Karl Wolf. Merci.
Il revint à la table, en sifflotant joyeusement. La soirée pouvait enfin commencé. Il dit d’une voix enjoué, ce qui est rare de sa part, en regardant Karl :

-Vous êtes inscrit aussi, je voyais dans vos yeux l’envie de chanter, j'ai pensé que vous n’osier pas vous inscrire, alors je l’ai fait pour vous.

*Voila, maintenant on est tous dans le même bateau*. Domeki avait une assez belle voie en chant, mais malheureusement, celui-ci n’aimant pas être repéré, il ne chante pas très fort. Mais ce soir ce ne sera pas la même chose, il doit gagner face à Karl coute que coute pour voir qui est la casserole entre les deux.

Nombre de messages : 205 Date d'inscription : 31/10/2008

[Désolé du retard mes tits élèves chéris adorés! (presque un mois quand même^^')]

Kichi semblait contente qu'il les ait inscrits, Domeki moins... Lorsque Karl le vit s'éloigner, il fut tenté de le rattraper et de l'empêcher de se venger, mais la smirnoff arrivait. Des étoiles apparurent dans les yeux de Karl lorsqu'il vit ce qu'on lui apportait. Très peu alcoolisé et très bon, c'était le breuvage parfait. S'il n'en abusait pas comme il le faisait parfois, il pourrait rester maître de lui-même et donc de ses élèves si, eux, abusaient de l'alcool. Tout ce qu'il espérait, c'est qu'il n'ait pas à les récupérer allongé par terre à vomir leurs tripes. Il remercia la serveuse, leva sa bouteille et, négligeant le verre, commença à boire au goulot. C'était une tradition dans les bars, de toutes façons, le verre était presque aussi grand que la bouteille, alors à quoi bon?

Il reposa sa smirnoff au bout de trois gorgées car Domeki était de retour, avec un grand sourire. C'était beau le sourire d'un élève, surtout d'un élève timide, à croire que tout ce qui est rare est beau, mais ce genre de sourire signifiait trop souvent qu'on allait en baver. Malgré cela, Karl restait enthousiaste, comme si rien ne pouvait jamais ébranler son sourire. Ce qui était fait était fait de toutes façons, il fallait admettre la fatalité et en tirer profit. C'était sa philosophie.

"Super! On va pouvoir faire un trio! Quelqu'un connaît une chanson à plusieurs voix?"

S'il fallait casser la barraque, autant le faire tous ensemble. Cependant, après avoir lancé cela, Karl se détacha de son sourire quelques instants pour prendre un air pensif. Ainsi, il avait l'air presque sérieux. Sérieux, mais ailleurs, très loin dans un autre univers. Il aurait bien pu y avoir le feu, qu'il ne s'en serait peut-être même pas aperçu. Il réfléchissait aux conséquences de cette soirée. Son premier cours n'avait pas été LE cours parfait, mais après cela, allait-il perdre le peu de respect que ses élèves avaient envers lui?

Il haussa les épaules, et se dit à lui-même:

"Enfin bon... Y a toujours les colles de toutes façons..."

Ce n'est qu'ensuite qu'il réalisa qu'il avait sorti cette phrase à voix haute. Mauvaise habitude qui allait peut-être le faire passer pour un sadique à force et qui le laissait souvent seul, incompris. Il tenta de se rattraper, et reprit très vite à l'adresse de Kichi et d'Asano:

"Enfin... Je disais pas ça pour vous hein!"

*Quoique...*

Il lança ensuite un coup d'oeil sur le reste de la salle et changea de sujet:

"Tiens, le concours va bientôt commencer... Vous êtes prêts?"