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And it is the waltz of the dead who fall on the tiles…
 
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 " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki]

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Sayuri Kurata
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MessageSujet: " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki]   " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki] EmptyVen 6 Fév - 1:02

* Le temps est bizarre aujourd’hui *

C’était ce que Sayuri se disait en regardant d’un air légèrement inquiet par la fenêtre, tout en soignant sa bosse. La journée avait commencé plutôt normalement, ou assez inhabituellement, tout dépendait du point de vue. Inhabituelle pour une personne extérieure, normale pour Sayuri qui n’était même plus étonnée de s’être cogné contre un mur en voulant descendre du lit du mauvais côté. Elle s’en était juste sortir avec une imposante bosse, qu’elle essaierait de dissimuler sous la pluie de mèches brune qui recouvrait son front, maudissant sa stupidité. Sayuri n’aimait pas vraiment se réveiller tôt, pour la bonne raison qu’elle n’était pas réveillée, et pourtant la magicienne se levait tout les jours aux aurores. Et à présent, elle était là, dans son uniforme vert, assise devant la fenêtre en train de pommader sa marque de combattante, à regarder le ciel. Le ciel, elle ne le quittait quasiment pas des yeux depuis qu’elle s’était levé. Le ciel … avait quelque chose de bizarre. Elle ne savait pas trop quoi, mais elle était préoccupée et avait un mauvais pressentiment, et elle n’aimait pas ça. Etait-ce lié d’une façon où d’une autre à son pouvoir lui permettant de voir l’avenir ? Elle ne le savait pas, mais elle avait souvent des « pressentiments ».
C’est en jetant un dernier coup d’œil inquiet en direction de la fenêtre qu’elle se leva et, silencieusement, quitta la chambre six le cœur serré.
Quelque chose allait se passer.

Sayuri marchait d’un pas rapide mais incertain le long des couloirs de l’institut Akamo, couloirs désert en cette heure matinale d’un jour censé être jour de repos. Aujourd’hui, la jeune magicienne aux yeux violets ne souriait pas, une expression grave se peignait sur visage. La jeune fille était d’autant plus inquiète que, le matin, en se réveillant, elle avait constaté avec effroi que la mélodie lui était revenue en mémoire. C’était peut être d’ailleurs ce qui l’avait perturbée et provoquée sa regrettable et bruyante altercation avec le mur. Sayuri ferma les yeux un instant … cette mélodie… cette mélodie qui ressurgissait du royaume des souvenirs oubliés lorsque la magicienne s’y attendait le moins, pour s’y replonger aussitôt dès qu’elle essayait de s’en souvenir par elle-même, tentative dont résultait un somptueux mal de crâne. Cette mélodie… qui avait un lien avec sa mère, c’était indéniable. Sayuri le savait, et ne le savait pas.

Doucement, dans un murmure, Sayuri commença à fredonner cette mélodie dont elle avait oublié l’origine et le sens, comme pour se libérer, pour se défaire de la tristesse, la nostalgie et la crainte, sentiments qu’elle ressentait à chaque fois que cet air, semblables aux vents qui fait sonner les cloches, lui revenait en mémoire. Sayuri aurait tout fait pour s’en débarrasser, mais elle s’y agrippait. Elle aurait voulu oublié, oublié encore plus qu’elle ne l’avait déjà fait, mais elle ne pouvait pas.
Depuis ces évènements datant maintenant de trois ans, Sayuri avait inconsciemment commencé à fermer sa mémoire, à sceller un à un les souvenirs concernant sa mère au plus profond d’elle-même. Elle n’en avait pas conscience, elle n’avait pas compris, mais c’était ce que les médecins avaient diagnostiqué, lors de son séjour passager à l’hôpital, lorsqu’elle n’était plus que l’ombre d’elle-même, ils avaient dit… que le « choc avait causé des pertes de mémoire ». Qu’avait elle chercher à faire ainsi, se protéger ? Des souvenirs joyeux, ou des autres ? Car les deux étaient tout aussi dangereux pour la jeune fille …

Quel ironie quand on peut voir une partie de l’avenir d’avoir oublié une partie de son passé.
Peut être était-ce le prix à payer.

Sayuri secoua la tête un grand coup, pour se réveiller. C’en était assez. D’abord Shinji, et maintenant sa mère. Elle n’était tout de même pas venue à Akamo pour broyer du noir. Son air sombre disparu et vu aussitôt remplacé par ce faux sourire qui paraissait presque naturel, ce sourire jovial, sa bonne humeur… bien qu’une petite lueur d’inquiétude brille au fond de son regard. Le temps … était vraiment étrange aujourd’hui, décidément. Et alors qu’elle dévalait les escaliers rapidement, avec l’intention d’aller en ville s’acheter un livre, elle ne se rendit pas compte que la mélodie s’était effacée à nouveau.

« SBAM »
C’est plus où moins le bruit que fit Sayuri en s’étalant par terre de tout son long. La chute avait tiré un gémissement de douleur à la jeune fille, qui réalisait lentement, premièrement pourquoi elle se retrouvait par terre dans ce qui paraissait être le hall d’entrée du pensionnat, deuxièmement qu’elle était partie pour avoir une deuxième bosse ce soir. C’était peut être ça, finalement, le pressentiment. La jeune fille essaya d’esquisser un sourire, auquel se mêlait une sorte de grimace, car tomber alors que l’on était presque entrain de courir est toujours un peu douloureux, même lorsqu’on atteint la lenteur suprême de Sayuri à la course. On lui avait croche-patter la jambe, elle l’avait bien senti. Pas particulièrement fâchée, elle se releva, frotta un peu son uniforme et se retourna vers l’inconnu. Les grand yeux violets qu’elle venait de lever sur lui s’agrandirent.
Un uniforme rouge.
Elle rencontrait enfin un magicien.

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Asano Domeki

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MessageSujet: Re: " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki]   " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki] EmptyMer 11 Fév - 20:43

Ca faisait deux semaines que son anniversaire était passé, il avait eue une visite de ses parents, avec une semaine et demie de retard bien sur. Son frère lui n’était pas venu. Pour sa défense ses parents lui dirent « Il ne sentait pas bien du tout et puis tu sais… » Ils n’avaient pas fini leur phrase, Domeki la connaissait très bien, ce pourquoi il avait du quitter sa maison, sa famille. Il en été attristé mais depuis quelques années il s’était fait à l’idée que Ryoku serait le préféré, mais il ne se doutait pas que sa se finirait comme sa. Malgré sa il n’allait pas pleurer son départ. « C’est surement le mieux pour moi comme pour eux », voila ce que Domeki essayait de se convaincre. Devant ses parents, il avait fait bonne figure et semblait indifférent, mais à la minute ou ils tournèrent le dos, il donna des coups sur l’arbre le plus proche, des larmes de rage et de tristesse coulaient sur son visage.

Il avait les mains rouges, son sang bien sur, il s’assit sur le banc le plus proche, il pleura un certains temps, puis ces mains lui faisait mal. Il sécha ses larmes et alla à l’infirmerie. Là, la dame était effrayé, elle n’arrêta pas de lui poser la même question « comment tu t’es fait sa ?, sa va ? ». Elle semblait dans tous ses états, en même temps, il était rare de voir un jeune homme arrivait les mains ensanglanté. Malgré toute cette question incessante, il resta en silence, tel un robot, les mains tendues vers l’infirmière. Elle lui passa de l’alcool, ça lui piquait mais tout ça lui était bien égale, toute façon tout ca n’avait plus d’importance. Elle lui mit des bandages et lui dit qu’il pouvait être dispensé de cour, ne l’écoutant même pas il se leva et sortit. Il se dirigea vers la salle de cours, toqua à la porte. Ses mains lui faisaient mal, terriblement mal. Il montra son billet de retard au professeur qui fit une drôle de tête en voyant les bandages rouges au mains de Domeki. Il s’assit à sa place et cacha ses mains, regardant vers le ciel comme à son habitude.

Mais cela faisait quatre jours que cet accident était arrivé, et Domeki avait encore les bandages autour de ses mains. Aujourd’hui c’était au tour de sa grande mère de lui rendre visite, elle allait surement s’inquiéter pour lui. Ce qui l’intrigua beaucoup était la phrase qu’elle avait dit : « J’ai quelque chose de très important à te dire, j’espère juste que tu ne fasses pas de bêtises après ca ».

Bref, ce matin là, Domeki eue beaucoup de mal à se réveiller, comme d’habitude. Lorsqu’il entendit son réveil, il enfonça sa tête dans son oreiller. Il entendait toujours son réveil, ce qui l’énerva. Une main sortit de sous la couette, cherchant désespérément la cause de tout ce boucan. Malheureusement sa main ne rencontra rien, n’étant pas doué, lorsqu’il trouva enfin le malheureux réveil, c’était lorsqu’il était par terre, le chevet à deux millimètre de sa tête.

*Un peu plus et j’y passai*

Sa chute le réveilla, il remit tout en place et alla vers la salle de bain. Il se brossa les cheveux, mais une mèche rebelle ne voulait pas rester en place. Il prit son courage à deux mains et pendant dix minutes, il lutta contre sa mèche. Après une rude bataille, il remporta la guerre face à sa mèche de cheveux. Il se brossa les dents et se lava le visage. Il hésita entre plusieurs tenues, et finit par opté pour son uniforme et sortit tout doucement de sa chambre pour ne pas réveiller ses camarades de chambre. Cause perdu avec le boucan qu’il avait fait quelques minutes avant.

Il descendit les escaliers et se dirigea devant le hall, lieu de rendez vous avec sa grand-mère. A l’extérieur il put apercevoir de gros nuages gris, il allait faire mauvais. Le hall était silencieux. *Personne à l’horizon*. Il se calla contre un mur les jambes tendues, regardant ses mains et repensant à la cause de son acte. Il ferma les yeux, il entendit des bruit de pas venant de l’escalier, ce n’était donc pas la personne qu’il attendait. Il commençait à s’endormir. Eh oui, Domeki avait la faculté de dormir debout, don très rare en ce monde. Il hésita à remettre ses jambes normalement.

* Elles ne bloquent pas le passage, faudrait vraiment être stupide pour tomber*

Il entendit un grand bruit et sentit que quelqu’un s’était pris dans ces jambes. Il ouvrit les yeux et remarqua une jeune fille en uniforme vert, une magicienne surement. Elle fit un sourire faux, elle semblait avoir mal. Dans un grand élan de gentillesse, il se baissa vers elle et lui tendit une main. Voyant ces bandages, il la retira de suite et fit un sourire gêné.

-Ca va, tu t’es pas fait mal ?

Il ne voulait pas que la jeune fille voie ses mains et l’interroge. Il lui sourit et se présenta :

-Je suis Domeki Asano, de la classe D et tu es ?


Dernière édition par Asano Domeki le Jeu 7 Avr - 0:29, édité 1 fois
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Sayuri Kurata
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MessageSujet: Re: " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki]   " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki] EmptySam 21 Fév - 20:51

[ Désolé, c'est pas génial x'( ]

A moitié levé et à moitié remise de sa chute, Sayuri passa la main sur son front, vérifiant si elle ne s’était pas fracturé le crane ou quelque chose comme ça. Après avoir vérifié la mobilité de chacun de ses membres, la jeune fille se mit à se reprocher mentalement sa stupidité et son inattention, lorsqu’elle vit le dangereux magicien se pencher vers elle et lui tendre une main. Sayuri eut un petit et discret sourire reconnaissant, jusqu’à ce que le magicien en question retire sa main précipitamment.

La jeune magicienne leva sur lui un regard incrédule, elle n’avait pas vraiment compris ce qu’il s’était passé, même si, l’espace d’une seconde, elle aurait juré voir des bandages recouvrant la main du jeune magicien. Semi étonnée, semi vexée, elle se releva totalement, mettant ce détail de côté car de toute façon ça ne la concernait pas. Une douleur brulante lui traversa le genou, lui arrachant une légère grimace, et elle réalisa enfin qu’elle s’était bien fait mal en tombant. Elle n’était décidément pas très douée…


- Ca va, tu t’es pas fait mal ?

Le regard violet de la jeune fille se reporta sur celui qui venait de lui croche-patter la jambe. Il devait être un peu plus âgé qu’elle, possédait des cheveux d’une couleur étrangement louche, souriait d’un air gêné et n’avait pas vraiment l’air d’un dangereux magicien. Ce fut du moins la première conclusion de Sayuri.
Ce que Sayuri détestait plus que tout, c’était éveillé chez les gens un sentiment de culpabilité ou les inquiéter, c’est pourquoi, depuis maintenant longtemps, elle avait toujours feins la bonne humeur. Evidement, un parfait inconnu n’allait surement pas s’inquiéter pour elle, à moins d’avoir un cœur pur et généreux, mais les réflexes de la jeune fille prirent à nouveau le dessus. C’est pourquoi, repensant l’espace d’un instant à son genou, elle déclara, avec une espèce de sourire rassurant :

- Non, tout est ok ! Et toi, je ne t’ai pas fait mal ?


Les craintes que Sayuri avaient eu quelques minutes plus tôt… ses mauvais souvenirs, et cette horrible mélodies… tout avait disparu. Comme si le choc de la chute avait tout chassé… au moins, la jeune fille trouvait un bon côté à s’être ramassée dans le hall du pensionnat. D’un côté, à part celui qui l’avait fait tombée, même si c’était plutôt elle qui était tombée toute seule, le hall était vide... ce qui était normal, tôt le matin, mais qui évitait à Sayuri de se forger une réputation d’étourdie dès ses premiers jours à Akamo.

- Je suis Domeki Asano, de la classe D, et tu es ?

Sayuri sursauta presque. Perdue dans ses pensées, elle en avait oubliée de se présenter. Elle se mordit la lèvre une fois de plus, avec le sentiment que cette même scène se produirait toujours lorsqu’elle rencontrerait quelqu’un. Elle fit son habituelle sourire lumineux, et se présenta à son tour :

- Je suis Sayuri Kurata, en classe B. Je suis ravie de faire ta connaissance, Asano-kun.

S’en vraiment s’en rendre compte, le regard de Sayuri se dirigea vers l’extérieur. Quelque chose dans l’air avait changé, et son mauvais pressentiment revenait. De toute façon, depuis qu’elle s’était levée, elle était inquiète et avait le cœur serré. Quelle poisse, par moment, de sentir l’avenir. Et pourtant, elle n’avait pas eu de visions depuis deux mois, ce qui était encore plus inquiétant, et maintenant ses « pressentiments » revenaient.

- Le temps est bizarre aujourd’hui, non ?

Sayuri se mordit la lèvre à nouveau, décidément, elle alignait les stupidités les unes après les autres. Voila que maintenant, elle pensait tout haut. Bravo la maîtrise de soi-même. Elle secoua la tête et ajouta avec un air embarrassé.


- Excuse-moi, je parlais toute seule. Oublie. Au fait, c’est peut être indiscret, mais pourquoi tu es tout seul dans le hall à une heure si… matinale ?
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MessageSujet: Re: " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki]   " J'aurais aimé que tu ne t'arrêtes jamais de sourire, jamais. " [PV Domeki] EmptyVen 6 Mar - 0:12

Domeki se sentait encore gêné d’avoir enlevé sa main comme ça. Elle allait surement le prendre pour un mauvais gars. En même temps c’était compréhensible, en premier elle était tombé un peu (mais pas beaucoup) à cause de lui et la moindre des choses était de l’aider à se relever ce qu’il allait faire au début. C’est sur que de voir un gars vous tendre la main puis la retiré dix secondes après n’était pas très agréable. En plus, si celui-ci ne bouge pas et vous regarde vous débrouiller toute seule.
Il avait une bonne excuse mais il ne pouvait pas lui dire (c’est con ça xD). Et puis, il n’allait pas lui raconter toute sa vie non plus. La magicienne semblait tout de même vexée par le geste de Domeki. Il se sentait encore plus mal à l’aise à ce moment, mais comme à son habitude, il ne le montrait pas. Il se préoccupait néanmoins pour elle, ne voulant pas être la cause de tout ça. A voir son uniforme, elle n’était dans sa classe que le soir après les cours normaux. Les cours de magie ne l’intéressaient pas plus que les autres cours.
En effet, Domeki, depuis qu’il était tout petit savait parfaitement maitrisé son pouvoir. Comme tous ceux qui étaient maudits dans sa famille, c’était un don inné. En même temps, comme ils vivaient peu, il était préférable qu’ils sachent l’utiliser bien des le début. C’était surement le seul point positif de cette malédiction.
Ce don inné avait beaucoup énervé son frère, c’était surement même la raison qui avait poussé Ryoku à causer autant de peine à son frangin. Quand il repensait à lui il ne pouvait oublier cette fameuse phrase qu’il avait dite avant son départ, le regard qu’il avait et son sourire. Son sourire, c’est surement ce qui l’a marqué le plus, un sourire vainqueur qui en disait long.

- Non, tout est ok ! Et toi, je ne t’ai pas fait mal ?

Cette phrase lui fit revenir de ses pensées. Au moins un problème en moins *La fille est ok alors finalement dieu existe* Domeki exagérai surement un peu, voir beaucoup. Elle se présenta joyeusement et semblait de bonne humeur, pas comme Domeki, qui avait toujours un air d’ours mal réveillé. Et la plupart du temps il répondait par des phrases très constructives du genre hmm sur un ton très moue.
Et puis celle-ci, parla du temps, apparemment, il n’était pas le seul à le remarquer, ce temps ne lui disait rien de bon.

- Excuse-moi, je parlais toute seule. Oublie. Au fait, c’est peut être indiscret, mais pourquoi tu es tout seul dans le hall à une heure si… matinale ?

Pourquoi il était la ? *Parce qu’il y a une vieille qui a oublié mon anniv et qui essaye de se rattraper mais elle empire son cas en me faisant levé tôt* Bien sur, il n’allait tout de même pas lui dire ça, il lui répondit alors :

-Il y a pas longtemps, c’était mon anniversaire, étant donné que ma grand mère ne pouvait pas venir, elle vient aujourd’hui et elle est plutôt matinale pas comme ça.

Tout en disant cela, il se toucha ses bandages, repensant à ce qu’il s’était passé. *Heureusement qu’elle n’est pas dans ma classe sinon elle serai au courant pour mes bandages* Domeki regarda à droite et à gauche et s’assura qu’il n’y avait personne et dit tout bas à l’intention de Sayuri :

-Toi aussi tu as remarqué ce temps? Tu es quelle sorte de magicienne?

Il ne se souvenait pas des pouvoirs des autres, en même temps quand on dort, c’est dur de retenir des choses. Bref, il voulait savoir si c’est une télépathe pour ne pas qu’elle lise dans ces pensées. *On me la refait pas à moi*
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